Les protecteurs des éléments

Voici le premier chapitre de mon roman. S'il vous plait, soyez indulgent, c'est mon premier roman. Je suis ouverte à tout les commentaires constructifs. Merci d'avance.

Chapitre 1

Dans sa chambre, Evelyne faisait les cent pas. Sa nuit blanche n’avait servit à rien. Aujourd’hui elle regrettait amèrement cette décision prise il y à quinze ans. Maintenant il était trop tard. Comment fera-t-elle pour expliquer cette histoire à sa fille? Allait-elle seulement la croire? Allait-elle accepter ce que le futur lui réservait? Si le contraire ce produisait, une véritable catastrophe allait suivre et se sera sa faute. S’effondrant sur son lit Evelyne dit :

 Qu’est que j’ai pensé. Pourquoi je n’ai pas écouté ma mère, mon époux et mes amis? C’est eux qui avaient raison.
 Ça t’a pris du temps avant de t’en rendre compte, dit une voix à côté d’elle.

Se relevant d’un bon, Evelyne se jeta dans les bras de sa mère.

 Je suis tellement désolé…
 Evelyne, il ne sert à rien de regretter le passé, nous ne pouvons pas le changer. Il faut apprendre de nos erreurs pour ne pas les commettre de nouveau. Il faut travailler sur le présent. Maintenant dit moi où est Joyce.
 Elle est allée dormir dans la forêt, elle fait ça souvent.
 Allons l’a cherché alors.
 Ne peut-ont pas attendre…
 Non, il n’en n’est pas question, tu n’as pas voulu lui dire, ce sera donc fait de façon directe.

Les deux femmes ce dirigèrent vers la clairière, près du ruisseau, c’était l’un des endroits que Joyce aimait le plus. Comme les deux femmes approchaient, elles entendirent un bruit qui les inquiéta, elles se mirent à courir et lorsqu’elles arrivèrent à la clairière elles virent avec surprise Joyce qui tentait de tenir éloigner d’elle ainsi que de quatre personnes inconscientes cinq ou six ombres qui ce déplaçaient à une vitesse vertigineuse. Pour l’instant, grâce à deux torches enflammées elle les gardait à distance, mais il était incertain qu’elle pourrait garder le rythme suffisamment longtemps pour ne pas subir le même sort que les quatre autres. Evelyne et Gaïa firent alors apparaitre dans leur mains une boule de feu et les lancèrent directement sur les ombres, qui surprise d’une telle attaque, ce retournèrent contre les deux nouvelles arrivantes.

 Maman, grand-mère, s’écria Joyce surprise.
 Continue, lui crièrent les deux femmes en cœur.

En peu de temps, les agresseurs s’enfuir en rampant dans la forêt. Courant vers sa fille, Evelyne lui demanda avec inquiétude :

 Comment vas-tu? Ils ne t’ont rien fait?
 Je vais très bien, mais c’était quoi ces choses là? Et comment toi et grand-mère avez fait pour faire apparaitre ce feu et…
 Nous allons tout t’expliquer un peu plus tard, dit sa grand-mère, mais avant, il leur faut des soins, dit-elle en désignant les quatre personnes inconscientes.

Sans même s’en rendre compte, Joyce se retrouva toute étourdit dans un endroit qu’elle ne connaissait pas, obliger de s’appuyer sur un arbre pour de pas tomber. Joyce reprit contenance assez rapidement et put faire quelques pas. Elle remarqua qu’elle était dans un jardin absolument magnifique. Il y avait de nombreux arbres âgés de plusieurs centaines d’année en jugeant leur taille, un joli ruisseau et un grand tapis de fleurs sauvage. Ce tournant vers sa mère qui était resté à ses coté, Joyce demanda :

 Où sommes-nous?
 Nous sommes à Eivlys, au palais royal, dans le jardin des protecteurs des éléments.
 Je ne comprends vraiment pas se qui se passe.
 Vien t’assoir avec moi, je vais t’expliqué.

Mère et fille allèrent s’assoir sur le bord du ruisseau et Evelyne commença son explication.

 Dans la forêt, à tu parler à ces personnes ?
 Juste un peu, ils ont dit qu’ils s’appelaient Alizée, Brasier, Apache et Missouri, qu’ils étaient respectivement les protecteurs de l’air, du feu, de la terre et de l’eau et que moi j’avais les quatre pouvoirs en moi, tout comme ma mère, ma grand-mère et toutes mes ancêtres.
 En peu de mots c’est exactement ça. Mais avant de continuer, dit moi comment as tu fait pour ne pas subir le même sort qu’eux?
 Lorsqu’ils m’ont dit ça, j’étais très fâcher, je croyais que c’étaient des plaisantins qui voulaient se moquer de moi ou des vandales qui essayaient de se rattraper lorsqu’ils ont vue qu’il y avait quelqu’un. Je m’étais pencher pour ramasser un bâton pour me défendre et à se moment l’une de ces ombres m’est passé par-dessus la tête et à sauter sur Alizée. Elle à aussitôt été envelopper de noirceur. Brasier à mit le feu au bout de mon bâton et à dit de les garder à distance grâce à cette arme. Rapidement les trois autres ont succombé, j’ai été capable de me ramasser un autre bâton, mais si toi et grand-maman n’étiez pas arrivées je ne croie pas que j’aurai tenu le coup. Et en passant, où est passé grand-maman et les quatre protecteurs?
 Ma mère est allée les reconduire à leur jardin respectif pour qu’ils puissent retrouver leur énergie. Au milieu de l’après-midi ils devraient être en pleine forme.
 D’accord, maintenant explique moi ce qui ce passe.
 Tu es née avec de très grand pouvoir. Tu peux contrôler les éléments. Lorsque la fille de la protectrice des éléments atteint l’âge de quinze ans, elle prend la place de sa mère et cette dernière devient la reine. Ta tâche consistera à combatte les destructeurs avec l’aide des protecteurs. Ils deviendront pour toi de très bon amis et ils t’apprendront à utilisé tes pouvoirs. Ce qui vous ont attaqué cette après-midi c’était des lawyi, ils font parti de l’armé de Ténébra. Ils ce nourrissent de l’énergie magique. Te souviens-tu des histoires que je te racontais lorsque tu étais petite?
 Oui je me rappelle maintenant, les protecteurs qui combattent Ténébra, Séisme, Vésuve et Aiéar. Tu veux donc dire que toutes ces histoires sont vraies?
 Oui c’est vrai.
 Pourquoi tu me l’as caché?
 Je le regrette énormément, j’ai très mal agis, je croyais que ce serais une bonne chose de te garder loin de tout ça pour un temps. Te permettre d’avoir une vie normale, mais j’ai compris trop tard que nos vies ne seront jamais normales.
 Alors ça veut donc dire que je vais vivre tout plein d’aventures, que je vais…
 Doucement, dit Evelyne qui tentait de la calmer un peu même si elle était soulager de voir qu’elle le prenait aussi bien. La réalité est tout autre, mais pour l’instant, je vais te montrer tes appartements.

Suivant sa mère, Joyce traversa plusieurs couloirs avant d’arriver devant une porte richement décorer, elle apprit que c’était derrière cette porte que ce trouvait les appartements royaux et que très peu de personnes y avaient accès. Lorsqu’elle vit ses appartements, elle en fut estomaquée. C’était magnifique! Il y avait deux jardins, un jardin privé qui était ouvert sur sa chambre et un jardin pour ses réceptions avec une petite salle de bal adjacente, une salle d’audience, un salon, un bureau, une bibliothèque.

 C’est vraiment merveilleux maman, s’exclama Joyce.
 Je suis contente que tu aimes ça.
 Alors, que fait-ont?
 Nous allons passer l’avant-midi ensemble et aussitôt que les protecteurs seront remis sur pieds, tu pourras commencer à te préparer pour la cérémonie du transfère.
 Ça tu ne m’en n’a jamais parler, c’est quoi?
 Je te donnerai officiellement ton rôle de protectrice des éléments.
 Et toi?
 Je vais devenir la reine et je vais devoir m’occuper de la diplomatie.

Joyce et sa mère passèrent un beau moment ensemble, ça restait son anniversaire, même qu’elles avaient une double raison de fêter, c’était également le 24 juin, la première journée des vacances et elles ont fêté en grand. Ce ne fut qu’à la fin de l’après-midi que Gaïa vient leur dire que les protecteurs étaient guéris.

 Génial, dit Evelyne, allons les rejoindre au jardin des protecteurs des éléments.

Salut j'ai pris connaissance de ton manuscrit, j'ai lui ce récit et j'ai adoré

Il y a quelque petites chose a arranger genre: "Les dialogues inutiles..." Ils sont utiles mais tu en mets trop... Comme moi c'est mon défaut mettre trop de dialogue car je suis trop habituer d'écrire des scénarios de films... mais n'entrons pas dans les détails XD!

L'histoire me semble très bonne quelque petite fautes mais rien de trop grave...

Bonne Continuation

Merci beaucoup BratCode, je prend en note et je vais faire attention pour les prochains chapitres et je vais pouvoir corrigé celui ci.

Merci beaucoup Léonie, je t'assure que tu n'a pas nuis, je suis très contente de tes remarques et tu as bien raison, il y a quelques points à clarifié je vais m'y attaqué !!!

Bon, j'ai bien des points à aborder mais je vais commencer par le plus flagrant, soit le rythme de ton texte. Premièrement tout ce passe beaucoup trop vite, on a pas le temps de respirer. À mon avis juste la scène avec Evelyne et sa mère aurait facilement faire 3-400 mots. Et cette rapidité est à mon avis due au choix de narrateur. On dirait que tu as adopté un narrateur plus réservé qui n'en dit pas trop sur tout, alors que je trouve que c'est capital si tu souhaites commencer ton récit de cette façon, d'utiliser un narrateur omniscient. C'est-à-dire un narrateur qui s'attarde énormément aux réactions, aux pensées et aux émotions. Si Joyce vient d'être agressée dans la forêt, on devrait sentir la frayeur chez elle, surtout s'il s'agit d'une jeune fille normale qui n'as pas eu ce type d'expérience au cours de sa vie et je doute que ce soit le cas.

Bien qu'il manque de contenu, il y a certains passages inutiles, et ce ne sont pas les dialogues. En effet, pour donner plus de réalisme, Joyce devrait, au lieu de se rappeler des noms (aussi imprononçables soit-ils) de ses sauveteurs, elle devrait simplement dire qu'ils avaient une allure bizarre et qu'ils étaient les protecteurs de je-ne-sais pas quoi. Après tout une ado de nos jours, peut importe qui, n'avalera pas sans un minimum de doute tout ces trucs sur un autre monde. Il y a forcément une petite phase de résistance dans son esprit. Elle ne devrait pas être joyeuse de voir sa mère utiliser la magie, n'importe qui aurait fait semblant de voir autre chose et aurait été terrifié au lieu de simplement demander comment ils ont fait ça de manière calme (du moins c'est ce que ton texte laisse entendre).

Sinon la classique, pas mal de fautes facilement évitables (ce/se, verbes mal employés parfois, syntaxe, quelques participes passés). Bonne continuation, j'espère que tu prendras cette critique de manière constructive, loin de moi l'idée de "blaster" ton roman, qui a certainement du potentiel.

Toutes les meilleures chances,
Émile

Merci beaucoup Émile, je trouve en effet que c'est très constructif. Ça va beaucoup m'aider pour continuer mon histoire. Je vais travailler à ralentir un peu le rythme, je vais travailler sur mon narrateur, mettre plus de descriptions et bien entendu faire attention à mes fautes!!!

Merci encore
Marie